correction, relecture & reformulation

correction, relecture & reformulation

image Loupe sur un clavier d’ordinateur portable
© Unsplash.

OUI, il FAUT définitivement aimer la langue française pour être un bon correcteur-relecteur. MAIS contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne suffit pas d’être bon en orthographe, en conjugaison et en grammaire.

Il existe une MULTITUDE de fautes potentielles qui ne concernent pas uniquement la syntaxe de la langue française. Il faut ainsi savoir :

  → Maîtriser la typographie ou encore des normes rédactionnelles comme les notes de bas de page, la bibliographie, etc.

  → Contrôler la logique générale du texte

  → Travailler l’esthétique du texte, pour qu’il soit le plus agréable à lire

  → Vérifier la cohérence des informations transmises

D’où l’importance primordiale d’avoir un correcteur qui s’y connaît sur le Japon pour relire un texte sur le Japon !

 

C’est pourquoi confier la relecture de ses textes à Madame Ori, c’est se garantir une rédaction optimisée en langue française. Et plus encore, c’est s’assurer un « sans faute » concernant la transmission du sens de votre écrit sur le Japon à un lectorat francophone.

©Unsplash

Pour moi, le métier de correcteur-relecteur s’apparente à la fois :

Deux de mes pires cauchemars de correctrice : le non-respect de l’espace insécable dans les textes pour le web (ça me fait mal aux yeux !) et l’accord des verbes pronominaux. Je vous assure qu’un « se » peut m’empêcher de dormir !

Une fois la correction des fautes de français et de typographie faite, il faut examiner l’organisation des idées dans le texte. Pas de panique, je vous signalerai si la synthèse de votre article est étrangement placée entre la thèse et l’antithèse !

Une fois la cohérence du sens vérifiée, s’engage alors un vrai travail d’artiste sur votre texte ! Vos mots sonnent-ils bien à l’oreille ? Savez-vous qu’une bonne énumération suit un rythme ternaire ? N’existe-t-il pas un synonyme pour empêcher la répétition disgracieuse de ce terme ?

#mondicodessynonymesestmonmeilleurami#

En résumé, mon but est de vous rendre un texte optimisé, sans prendre la place de l’auteur originel !

 

Je ne vous cacherai pas que le bon correcteur a une certaine propension à la maniaquerie, avec un goût prononcé pour le détail, la précision, la vérification (Non, je n’ai pas dit névrose !).

 

Bonus : L’avantage de prendre une spécialiste du Japon pour relire vos textes sur le Japon, c’est que je suis également un radar pour les contresens et erreurs concernant le sujet nippon!

N’hésitez pas à me contacter via ce formulaire pour établir ensemble un devis ou pour toute question.

 

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« Charlène Veillon a exercé durant près de deux ans les fonctions de secrétaire de rédaction pour la revue bilingue français-japonais Koko. Ses compétences mises au service de la relecture – orthographique, typographique, rédactionnelle – du magazine ont été immédiatement reconnues et ont permis de parfaire Koko et d’en assurer la qualité et le sérieux scientifique tout au long des cinq numéros publiés.
Ainsi, par sa grande créativité et son implication régulière sur l’ensemble des étapes de la création d’un numéro de Koko, Charlène constituait un membre indispensable de la revue. Dotée d’une aisance relationnelle et d’une capacité à travailler en équipe avec beaucoup d’exigence et de respect envers ses collègues, je recommande fortement Charlène Veillon pour son fort potentiel, son professionnalisme et sa créativité. »

Eventhia Moreau

« Charlène Veillon m’a beaucoup aidée par ses bons conseils lorsque je me préparais à soumettre ma thèse de doctorat. Grâce à sa bonne révision, ma thèse « Exposition de soi à l’époque mobile/liquide » a été soutenue en 2015, puis publiée par la maison d’édition française Connaissances et Savoirs en 2017. Mes recherches portent sur la communication par les médias sociaux et les pratiques artistiques d’autoreprésentation apparues dans les années 2010. J’essayais d’écrire en français pour la première fois quelque chose de nouveau, quelque chose qui n’avait pas encore été écrit en français, sur la culture et les coutumes japonaises, l’ethnicité japonaise et les attitudes japonaises. Lorsque je ne savais pas comment m’exprimer, je demandais de l’aide à Charlène : elle a relu mon texte et m’a beaucoup appris. Je suis convaincue que seule Charlène Veillon aurait pu faire ce travail, car elle a une connaissance très approfondie et détaillée de l’art
japonais, de la culture contemporaine et des sous-cultures. »

Miki Okubo

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